Cette pression démographique s'est accompagnée de profonds changements des pratiques agricoles, avec une diminution importante du nombre d’exploitants, et une augmentation massive des surfaces exploitées en maraîchage intensif.

Mais cette commune a su aussi préserver, sur une part importante de sa surface, un paysage bocager (plus de 350 km de haies) et de nombreux chemins ruraux.

Les élus ont depuis longtemps cherché à préserver ces atouts naturels et se sont engagés notamment dans une démarche de préservation de son patrimoine de haies et boisements, ainsi qu'à permettre à la population locale de profiter, découvrir, protéger et s’approprier son environnement par des actions concrètes : la revalorisation de sites « délaissés », situés sur le territoire communal, comme le bocage humide des Cailleries.